J'espère une langue morphique. Une langue pour un morphumanya.
Je rêve d'une figure du récit qui se renouvelle au principe d'Incertain-Cohérent.
J'espère une langue morphique. Un verbe fulgurant pour un morphumanya.
A la langue morphique venant d'Incertain-Cohérent le verbe, premier mot jaillissant est actualescence de morphe. Un morphe dans son entier où ne s'oublie pas le champs de mouvance où ne s'oublie pas la cohérence se faisant dans la totalité. Le verbe est déjà là avant que tu n’advienne.
J'espère une langue morphique. Un sujet connu pour un morphumanya.
A la langue morphique venant d'Incertain-Cohérent le sujet est Unique. Faisant la réalité et y apparaissant seule Unique est sujet aucun autre sujet à cette langue.
J'espère une langue morphique. Un savoir pour un morphumanya.
A la langue morphique venant d'Incertain-Cohérent la réalité est nommée de concepts mis à la réalité. Tout ce qui n'est pas unique est concept apparu à la réalité, est le su une profusion de verbe identifiant le su.
J'espère une langue morphique. Une parole qui fait sens pour un morphumanya.
A la langue morphique venant d'Incertain-Cohérent des souffles et des essoufflements des rires et des pleurs seront articulés faisant un récit fondateur. Une psalmodie proférée fera la figure du récit.
J'espère une langue morphique. Un récit comme un voyage pour un morphumanya.
A la langue morphique venant d'Incertain-Cohérent au pas d'une marche à l'élan d'une course au renouvellement de la langue maternelle renouvelant le livre ignorant sa maladresse se trouvera une algorithmie littérale une scansion qui fait sens.
La clameur :
Au principe de soi-même désormais vient de se recommencer.
Désirante : L'instant est incertain. Je te laisse un désir. Qu'il te prenne et que tu viennes.
Innocence: Je ne sais plus je ne sais rien. Pourtant un désir est là qui m'appelle à moi-même.
Tisserand d'existences : Rien ne se sait de ce qui sera engendré. Les instants incertains sont chaos d'incohérence.
Mathématicienne : Au bord du rêve à l'histoire d'incertain cohérent les actes qui se font et feront un vécu disparaîtront du vécu.
Des gestes se feront sans personne pour les faire et quelqu'un pressenti.
A l'instant d’apparaître viendra et l'apparition et l'oubli. Les morphes sous-jacents toujours se dissolvent au morphe nouveau.
La traversées des instants incertains commencent rien ne s'en sait ni ne s'en saura.
Innocence: Je ne sais plus je ne sais rien. Pourtant un désir est là qui m'appelle à moi-même.
Le nocher Ur-Chanabi : Au chaos de la chute une figure du récit qui disparaît une langue maternelle qui s'oublie. A l'oubli en langue maternelle de désir de recommencements vient le recommencement du désir. J'ouvre l'escalier d'Eurydice.
Microphénoménologue : Les minorés d'actes en oublis réapparaissent lorsque, après coup déportant l'attention depuis la résultante vers soi-même revenant à l'attitude du danseur prenant le temps de la subtilité se remémorent les actes minorés du vécu.
Ainsi se garde ouvert l'escalier d'Eurydice.
Ignorant et les minorés d'acte et leur oubli les instants incertains se traversent sans savoir.
Innocence: Je ne sais plus je ne sais rien. Pourtant un désir est là qui m'appelle à moi-même.